ORGANISATION
D'UN COLLOQUE INTERNATIONAL
PREMIER
COLLOQUE REGIONAL SUR LE THEME :
"Plantes
Médicinales, Médecine Traditionnelle et Communautés Locales en
Afrique
: Défis et Opportunités du Prochain Millénaire"
Date :
du 16 au 19 Mai 2000
PRINCIPAUX
ORGANISATEURS :
-
Centre de liaison pour l'environnement
international,
Nairobi
, Kenya
-Global
Initiative For Traditional Systems of Health
(GIFTS
of
HEALTH), Oxford, Royaume Uni
En
collaboration avec:
-The
Commonwealth Working Group on Traditional & Complementary Health
Systems
-WHO/AFRO
-Rainforest
Medical Foundation, Netherlands
-International
Development Research Centre(IDRC),Nairobi, Kenya
-UNAIDS
-USAID
-IPGRI,
Sub-Saharan Africa's Medicinal Plant Species(SAFORGEN) Network
-The
World Bank, Washington, USA
-DANIDA
-CAB
International
-The
Technical Centre for Agricultural and Rural Co-operation
(CTA),Wageningen,
Netherlands
Lieu :
International Centre for Research in Agroforestry, United
Nations
Avenue, Nairobi, Kenya ; parallèlement à la 5ème réunion de la
Conférence
Des Parties à la Convention sur la Diversité Biologique
Le
Centre de Liaison pour l'Environnement International (CLEI), basé à
Nairobi,
Kenya, et Global Initiative For Traditional Systems of Health
(GIFTS
of HEALTH), Université d'Oxford, Royaume Uni, en collaboration
avec
d'autres organisations, ont le plaisir de porter à la connaissance
des
partenaires intéressées, qu'il organisera, du 16 au 19 Mai 2000, à
Nairobi
au Kenya, un colloque international de quatre jours sur la
promotion
et la mise en valeur des plantes médicinales et de la médecine
traditionnelle
en Afrique. Le Colloque comportera une série d'exposés,
de
posters et de travaux en ateliers. Il se déroulera parallèlement à la
cinquième
réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la
Diversité
Biologique, prévue du 15 au 26 Mai 2000 à Nairobi au Kenya.
Les
travaux de ce colloque seront centrés sur les questions relatives
aux
plantes médicinales utilisées dans la médecine traditionnelle
humaine
et vétérinaire, aux pesticides extraits de ces plantes et aux
plantes
aromatiques et cosmétiques. Il est prévu que les représentants
de
gouvernements et de bailleurs de fonds, les hommes de science, les
chercheurs,
les responsables politiques, les conservateurs de la nature,
les
environnementalistes, les ONG, les agents de santé, les guérisseurs
et les
praticiens traditionnels, etc. prendront part à ce colloque. Les
spécialistes
en la matière en provenance des autres continents sont
également
invités à participer aux travaux de ce colloque pour partager
leurs
expériences ou pour être informés sur l'évolution récente
enregistrée
dans ce domaine en Afrique. Les langues officielles de ce
colloque
sont l'anglais et le français.
Importance
et but du colloque
L'on
trouve des informations ayant trait aux plantes médicinales et à
la
médecine traditionnelle dans des documents et bases de données
publiés
à l'intention des lecteurs dans une gamme variée de disciplines
dont la
botanique, l'écologie, la chimie, la médecine, la science
vétérinaire,
etc. Toutefois, il existe peu de publications qui font le
point
des travaux en cours et qui passent en revue et analysent les
progrès
récents en matière du savoir-faire traditionnel ou qui mettent
en
relief des expériences locales, des défis, des contraintes, et des
possibilités
concernant l'utilisation de la médecine traditionnelle, la
préservation
ainsi que l'exploitation et la gestion durables des plantes
médicinales.
En Afrique comme ailleurs, la plupart des publications
disponibles
sur les plantes médicinales et la médecine traditionnelle
ont
porté plus ou moins sur les travaux de recherche à caractère
académique
et sur la conception de la médecine traditionnelle africaine,
et ses
rapports avec d'autres systèmes médicaux. Cependant, les
population,
les décideurs politiques et les communautés locales ont
l'accès
limité à ces publications, à cause de leur style académique et
leur
rareté.
A
l'échelon mondial, la Convention sur la Diversité Biologique, traité
international
signé par plus de 170 pays membres de l'Organisation des
Nations
Unies, fournit un cadre juridique international régissant la
préservation
ainsi que la prospection de la diversité biologique, y
compris
l'accès aux matériels génétiques et leurs échanges. Diverses
approches
sont à l'essai à travers le monde afin de trouver les moyens
de
minimiser, voire de réduire et/ou de freiner l'appauvrissement de la
diversité
biologique, en particulier dans des zones de la planète
biologiquement
riches comme les régions tropicales d'Afrique. Il s'avère
que la
réalisation de l'objectif principal de réduire la dégradation de
l'habitat,
qui va de pair avec l'appauvrissement de la diversité
bioculturelle
est malheureusement encore loin d'être atteint.
L'Organisation
Mondiale de la Santé (OMS) estime que 80% de la
population
des pays en développement sont tributaires de la médecine
traditionnelle,
en recourant principalement aux médicaments extraits des
plantes
pour satisfaire à leurs besoins de soins de santé primaire. Par
ailleurs,
la pharmacopée moderne comporte encore 25% au moins de
médicaments
extraits des plantes et bien d'autres produits synthétiques
analogues
mis au point à partir des composés prototypes isolés des
plantes.
La demande des plantes médicinales augmente aussi bien dans les
pays en
développement que dans les pays développés. Il est cependant
étonnant
de constater que les grosses quantités de matériel
commercialisées
proviennent encore des récoltes sauvages dans des forêts
naturelles,
alors que très peu d'espèces de plantes médicinales sont
cultivées.
Par
ailleurs, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a désigné
l'année
2000, année où tout le monde devrait avoir accès à la santé,
objectif
louable mais qui est encore loin d'être atteint. Pendant que
les
gouvernements africains font face aux coûts élevés et à
l'inefficacité
des programmes officiels de santé destinés à la
population,
la médecine à base de plantes et les guérisseurs
traditionnels
se voient accordés une attention particulière de la part
de
hauts fonctionnaires dans le domaine de la santé et de la recherche
médicale,
à l'échelon international et de la part des établissements de
formation
médicale.
La
hausse des prix des médicaments conjuguée à la baisse du pouvoir
d'achat
de la population en Afrique, suite à la dévaluation des monnaies
africaines
et à des ressources nationales limitées rendent obligatoire
l'intensification
des efforts dans la production des médicaments à base
des
plantes. Un certain nombre d'organisations internationales ont
désormais
commencé à appuyer en Afrique, des projets et programmes qui
mettent
à profit l'acceptabilité culturelle et économique des pratiques
médicales
traditionnelles sûres et efficaces. Par contre, dans bon
nombre
de pays africains, il n'existe des programmes unifiés et
cohérents
ni pour promouvoir les plantes médicinales, la médecine
traditionnelle
et l'éthnopharmacologie, ni pour des pratiques durables
de
récolte des ressources biologiques. Différents acteurs entreprennent
à titre
individuel de nombreux travaux isolés sans aucun appui
institutionnel,
et sans aucune coordination à l'échelon national et
régional.
Cette situation pourrait mener souvent à un dédoublement des
efforts
ou à un usage peu efficace des ressources disponibles en
quantités
limitées.
Il
existe encore des lacunes au niveau de la compréhension du
fonctionnement
des systèmes du savoir-faire traditionnel de santé, de
leurs
limites, de leurs potentialités et de leurs perspectives. On
observe
un manque de compréhension de la vision globale propre aux
guérisseurs
traditionnels et du rapport entre le traitement basé sur des
approches
spirituelles et celui basé sur les plantes. En ce qui concerne
les
aspects de la recherche en rapport avec les plantes médicinales, la
médecine
traditionnelle et les communautés locales, un certain nombre de
questions
restent encore sans réponses. Par exemple : Quels sont les
remèdes
traditionnels qui fonctionnent le mieux, lesquels ont-ils été
testés
et comment ? Comment peut-on valider au niveau de la communauté
le
savoir-faire, les pratiques et les préparations relatives à la
médecine
traditionnelle ? Quelles méthodes et quels outils faut-il
utiliser
? Comment peut-on uniformiser ou standardiser, au niveau local
et au
niveau des guérisseurs, les pratiques de la médecine
traditionnelle,
et quelles méthodes et quels équipements faut-il
employer
? Dans quelles conditions la médecine traditionnelle
fonctionne-t-elle
le mieux ? Qui est-ce qui s'en sert et dans quelles
conditions
? Dans quelle mesure les communautés locales acceptent-elles
les
pratiques de la médecine traditionnelle ? Qu'est-ce qui a été fait
pour
favoriser la collaboration et le respect professionnel mutuels
entre
les médecins modernes et les médecins traditionnels ? Quels sont
les
aspects de la médecine traditionnelle qu'on peut combiner avec le
style
occidental de la médecine et comment ? Est-ce que toutes les
plantes
médicinales africaines ont été identifiées, répertoriées et
documentées
? Avons-nous une idée sur les plantes en danger
d'extinction,
sur la nature et le nombre de plantes déjà disparues, et
de
plantes qui nous restent ? Comment peut-on inclure les méthodes
traditionnelles
de santé dans un programme de recherche médicale ?
Comment
le savoir-faire traditionnel local peut-il contribuer à la
diffusion,
ainsi qu'à la conservation et l'utilisation durable des
plantes
médicinales ? Quelles sont les limites et les potentialités des
croyances
spirituelles relatives aux systèmes traditionnels de guérison
? Quels
sont les pratiques et les croyances culturelles en Afrique qui
œuvrent
en faveur de l'utilisation durable et la conservation des
plantes
médicinales ? Quelles sont les méthodes agro-écologiques
efficaces
qui favorisent la diffusion et la mise en culture des plantes
médicinales
particulières ?
De
nombreux pays africains évoluent derrière le reste du monde en ce qui
concerne
l'élaboration de politiques nationales relatives à l'accès aux
ressources
génétiques et aux échanges commerciaux des plantes
médicinales.
Par conséquent, il se développe entre les producteurs et
les
marchés potentiels, un climat de méfiance et de suspicion
remarquables.
Pour accorder aux plantes médicinales la valeur
appropriée
sur le marché intérieur et sur le marché mondial, il faut
mettre
au point des politiques de nature à orienter de telles
transactions.
L'adoption des stratégies adéquates ciblées dans le but de
sensibiliser
davantage les responsables politiques et les bailleurs de
fonds à
propos de la nécessité de promouvoir l'utilisation durable et
la
conservation des plantes médicinales, ainsi que la médecine
traditionnelle
en Afrique peut servir de complément aux efforts de la
recherche
visant à atteindre cet objectif. C'est dans ce cadre que ce
colloque
sera organisé parallèlement à la 5ème Conférence des Parties à
la
Convention sur la Diversité Biologique.
Le
colloque passera en revue les initiatives en cours en faveur du
développement
des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle
en
Afrique. Il établira l'état des lieux en mettant en relief les
réalisations,
les programmes d'activités, les points à renforcer, les
mesures
d'incitation qui s'imposent, les points forts et les points
faibles.
Il mettra en exergue, les exemples de politiques, de
recherches,
de législation, d'actions locales pour témoigner des efforts
déployés
à l'échelon national en vue de promouvoir les plantes
médicinales
et la médecine traditionnelle en Afrique, leur conservation
et
utilisation durable. Le colloque contribuera à l'échange
d'information
sur le sujet en question en faisant à la fois le point des
travaux
individuels, des institutions et ceux relatifs aux expériences
de
communautés africaines. Il mettra en relief le rôle vital joué par
les
plantes médicinales et la médecine traditionnelle dans les soins de
santé
publique et la nécessité d'adopter des stratégies et des mesures
urgentes
en faveur de ce secteur.
Objectifs
du colloque
· Faire
l'état des lieux et diffuser les informations sur les travaux en
cours,
les expériences et diverses initiatives de recherche dans le
domaine
des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en
Afrique.
·
Identifier les défis clé, les expériences, et les perpectives dans le
cadre
de la promotion des plantes médicinales et de la médecine
traditionnelle
en Afrique, ainsi que les leçons pratiques qu'on peut
tirer
de l'histoire récente de la Recherche et du Développement dans ce
secteur.
·
Fournir aux parties intéressées des informations actualisées, ainsi
que des
propositions de projets et de recommandations d'actions
orientées
vers une approche systématique et intégrée visant le
développement
durable d'une coopération axée sur les plantes médicinales
et la
médecine traditionnelle en Afrique.
THEMES
DU COLLOQUE
1.Etat
de la recherche et sa contribution dans la promotion des soins
de
santé primaires des communautés locales et dans l'utilisation
durable
et développement des plantes médicinales, la médecine et les
pharmacopées
traditionnelles en Afrique ;
2.Utilisation
durable, commercialisation et conservation des plantes
médicinales
en Afrique
3.Role
et place des systèmes de soins de santé traditionnels dans la
santé
publique ;
4.
Droits de propriété intellectuelle, développement des ressources
phytogenetiques
médicinales, découverte et développement de
nouveaux
phytomedicaments ;
Les
domaines transversales suivants seront abordés tout au long de la
conférence:
5.Mecanismes
financiers et sources de financement ; partenariat,
coopération
et collaboration
Nord-Sud
et Sud-Sud ;
6.Role
du genre ;
7.Maladies
prioritaires( ex: HIV/ SIDA, Malaria, etc.)
Sujets
à traiter
Les
communications à présenter au colloque pourront aborder les points
ci-après
:
1.
Plantes médicinales, médecine traditionnelle et pharmacopée en
Afrique
: Importance et tendance de la place et de la contribution de la
médecine
traditionnelle dans les soins de santé primaire.
2. Le
contexte mondial (bioprospection, Droits de Propriété
Intellectuelle
(DPI), Accords sur les Aspects de Droit de Propriété
Intellectuelle
liés au Commerce (ADPIC), Convention sur la Diversité
Biologique
(CBD), etc.) et leur implication dans la promotion du
secteur.
3.
Aspects de la recherche participative dans le domaine des plantes
médicinales
et de la médecine traditionnelle en Afrique, tenant compte
de la
participation des communautés locales (production des médicaments
à base
de plantes médicinales d'Afrique, études chimiques, biologiques
et
pharmacologiques), ethnomedicine et découverte de nouveaux
médicaments.
4.
Travaux de recherche antérieure et en cours menés pour résoudre les
problèmes
de santé des communautés locales ; écart entre les objectifs
de la
recherche en cours eu égard aux problèmes de santé publique, et
les
besoins et priorités des communautés locales.
5.
Conservation et utilisation durable des plantes médicinales en
Afrique
;
·
Contribution des forêts dans les soins de santé communautaire (liens
entre
la forêt et la santé; déforestation, son impact et ses
conséquences
sur la santé de la population, diverses façons par
lesquelles
la santé de la population est affectée suite à la
déforestation,
etc.).
·
Diffusion et domestication des plantes médicinales en Afrique (ex :
expériences
couronnées de succès à l'échelon du village, du pays ou de
la
sous-région), récolte abusive et récolte rationnelle, gestion des
ressources
biologiques.
·
Protection du savoir-faire et des pratiques traditionnelles associées
à
l'utilisation des plantes médicinales et des systèmes de la médecine
traditionnelle
(ex : proposition des mécanismes adéquats, débats sur les
droits
de propriété intellectuelle compte tenu du contexte africain,
etc.).
·
Mesures d'incitation économiques et politiques, et des instruments
juridiques
régissant la conservation et l'utilisation durable (ex :
encouragement
du secteur privé, des chercheurs et des communautés
locales.)
·
Prospection de la diversité biologique, commerce international et
droits
traditionnels relatifs aux ressources des populations autochtones
et des
communautés locales, partage des avantages et accès aux
ressources
génétiques médicinales.
6.
Commercialisation et valeurs économiques des plantes médicinales au
niveau
de la communauté : (Aperçu du secteur des plantes médicinales
commercialisées
et leurs potentialités pour le développement de la
communauté).
·
L'économie et les perspectives de l'industrie pharmaceutique à petite
échelle
en Afrique (état de production des phytomédicaments, leur
commercialisation,
leurs marchés et la valeur ajoutée par la
transformation)
;
·
Stratégies à adopter pour accroître la génération de revenus, et la
part
des profits issus des plantes médicinales et de la médecine
traditionnelle.
7.
Intégration de la médecine et des systèmes de guérison traditionnels
dans
les systèmes et programmes de santé publique
8.
Valeurs spirituelles et culturelles qui appuient la guérison et les
pratiques
traditionnelles
9.
Mécanismes financiers, instruments et stratégies d'information,
coopération
régionale et internationale : Possibilités de financement,
identification
des instruments, des mécanismes et des stratégies
pratiques
et efficaces de nature à renforcer l'échange d'informations,
la
coopération et la collaboration pour le développement du secteur.
10.
Expérience des pays :
État
actuel des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle à
l'échelon
national; ex : exemples des plantes médicinales les plus
répandues
et leur utilisation. Qui fait quoi à l'échelon national, ex :
des
programmes et cadre institutionnel de coordination et d'exécution,
d'appui
de la Recherche et du Développement, du rôle des ONG et des
associations
de guérisseurs traditionnels et des secteurs public et
privé,
des mesures et des stratégies adoptées pour la promotion de la
médecine
traditionnelle et des plantes médicinales, des efforts déployés
afin
d'intégrer la médecine traditionnelle dans les systèmes officiels
de
santé publique : avantages, inconvénients, conséquences et
obstacles,
options politiques et principaux acteurs. Place et importance
de la
médecine traditionnelle dans le pays.
11.Coopération
Nord-Sud et Sud-Sud
12.
Leçons tirées et nouvelles perspectives
Importance
et avenir des plantes médicinales et de la médecine
traditionnelle
en Afrique (recherche future, mesures nécessaires et
défis
politiques auxquels il faut faire face ; aperçu des causes du
problème
identifié et des approches antérieurement mises en œuvre pour y
faire
face.
a)
Limites et potentialités
b)
Orientations futures
-
Priorités de recherche
-
Transfert de technologies et renforcement des capacités
-
Planification & Développement
-
Options politiques
-
Echange et gestion d'informations
-
Stratégies et mécanismes de coopération
INFORMATIONS
GENERALES
Méthodologie
du colloque
Les
présentations des communications dureront 20 minutes chacun et 45
minutes
de plus pour les débats. Les communications devront être
largement
accessibles en anglais ou en français. Les séances de travail
consisteront
à la présentation des communications, des affiches et des
débats.
Les
participants intéressés sont invités à organiser des travaux
particuliers
en ateliers ou des débats ouverts en groupes sur un thème
spécifique
de l'atelier. Si vous souhaitez organiser une séance de ce
genre,
veuillez contacter les organisateurs du colloque. Les langues
officielles
du colloque sont l'anglais et le français.
N.B. :
NOUS ENCOURAGEONS LES PARTICIPANTS A PRODUIRE DES COMMUNICATIONS
TRAITANT
LES QUESTIONS A CARACTERE REGIONAL OU SOUS-REGIONAL
TRANSMISSION
DU RESUME
Pour la
transmission des résumés, l'enregistrement ou pour la demande
d'informations,
prière de contacter l'adresse ci-après :
Dr.Ernest
Rukangira
- par
courrier électronique (erukangira@iconnect.co.ke)
- par
télécopie (254-2-562175)
- par
courrier ordinaire (Centre de Liaison pour l'Environnement
International,
B.P. 72461, Nairobi Kenya).
Ou Dr.
Gerard Bodeker
GIFTS
of Health
Green
College
University
of Oxford
Oxford
OX2 6HG, UK
Tel:01865-274770
Fax:01865-274796
courrier
électronique : gerry.bodeker@green.oxford.ac.uk
Le
résumé ne doit pas dépasser 500 mots. Vous pouvez l'expédier par
l'une des
deux voies suivantes : sur papier (télécopie ou poste) ou
par
transmission électronique. Il doit être rédigé en anglais ou en
français
TRANSMISSION
DES RESUMES
Prière
d'inclure les informations suivantes:
NOM :
Noms de ou des auteur(s)
TITRE :
Titre de la communication
COURRIER
ELECTRONIQUE: Adresse du courrier électronique du principal
auteur,
s'il y en a
ADRESSE
: Adresse postale du principal auteur
TEL :
Numéro de téléphone du principal auteur, s'il y en a
TELECOPIE
: Numéro de télécopie du principal auteur, s'il y en a
Pour
toute correspondance, on se servira du nom du principal auteur
La
transmission électronique sera un message de texte ASCII clair
fournissant
les détails suivants:
NOM :
Nom du principal auteur
TITRE :
Titre du document.
Courrier
électronique : Adresse du courrier électronique du principal
auteur
Adresse
: Adresse postale du principal auteur
Tél.:
Numéro de téléphone du principal auteur
Télécopie
: Numéro de télécopie du principal auteur.
Dates
importantes
Date limite
de transmission du résumé : le 10 Mars, 2000
Notification
de la décision du comité : le 18 Mars, 2000
Transmission
de textes prêts à être photocopiés ; le 31 Mars 2000
Tenue
du colloque : du 16 au 19 Mai 2000
Formulaire
de pré-enregistrement.
Mr/Mme/Dr./Prof
:
(Prénom)
:
(Nom) :
Organisme
:
Rue :
B.P.
Ville :
Pays :
Tél.:
Télécopie :
(code
du pays - code de la région - numéro) Courrier électronique :
Prière
de retourner ce formulaire par télécopie ou par courrier
électronique
avant le 26 Février 2000, à l'adresse susmentionnée.
Modalités
de paiement
- Envoi
d'un chèque par poste (à l'ordre de "Centre de Liaison pour
l'Environnement
International") en dollars américains ou en shillings
Kenyans
Centre de Liaison pour l'Environnement International, B.P.
72461,
Nairobi Kenya, tel :(254-2)562022/576114/576154
Fax :
(254-2)562175
Montant:
avant le 10 Mars 2000 : 150$US ; après le 10 Mars 2000 :
250$US
; paiement au lieu du Colloque :US $400
Le
Centre de Liaison pour l'Environnement International (CLEI) basé à
Nairobi,
au Kenya, a été crée en 1974 dans le but de renforcer la
communication
et la coopération entre les ONG et les communautés
locales,
d'assurer la liaison entre les ONG et le Programme des Nations
Unies
pour l'Environnement (PNUE), d'aider au renforcement des capacités
des ONG
et des communautés locales dans les pays en développement et
d'encourager
le rôle consultatif des ONG par le biais des organes de
l'Organisation
des Nations Unies, le CLEI est une organisation
non-gouvernementale
internationale qui regroupe 900 ONG dans plus de 100
pays.
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INTERNATIONAL
CONFERENCE ON MEDICINAL PLANTS, TRADITIONAL MEDICINES &
LOCAL
COMMUNITIES IN AFRICA: CHALLENGES & OPPORTUNITIES OF THE NEW
MILLENNIUM
A
Parallel Session to the Conference of Parties (COP-5) to the
Convention
on Biodiversity (CBD)
VENUE:
International Centre for Research in Agroforestry (ICRAF)
United
Nations Avenue, Nairobi, Kenya
16 - 19
MAY 2000
CONVENORS:
-Environment
Liaison Centre International (ELCI), Nairobi, Kenya
and
-Global
Initiative For Traditional Systems (GIFTS) of Health,
University
of Oxford, UK
PROVISIONAL
PROGRAM:
MONDAY
15 May, 2000
14:00-8:00
p.m.: Registration : at ICRAF, Gigiri
TUESDAY
16 May 17, 2000:
08:00 :
Late registration
Session
1:
09:00-10:30
OPENING
Chairperson
:
Welcome
address and Introduction:
Opening
address:
Key
Note Address 1
Key
Note Address 2
Key
Note Address 3
Key
Note Address 4
10.30-11.00
:coffee/tea break
Session
2
The
Place and the Role of Traditional Health Care Systems and
Traditional
Medicines in Public Health.
11:00-:
12.00
Chairperson:
Co-Chair
:
Topics:
Priority diseases( HIV/AIDS and Malaria)
Introduction
and Presentation of issues:
Key
Speaker 1:
Key
Speaker 2:
Key
speaker 3:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
Session
3
12.00-
13.00
Chairperson
and Co-chair : same
Participants
presentations
13:00:
Lunch
Session
4
14:30-
16:00:
Chairs:
Ethics
in traditional medicine and medicinal plants:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
16:00-18:00:
poster session and exhibits*
18:00-20:00
Cross-cutting Issues and Networking evening:
Wednesday
17 May, 2000:
Sustainable
Use, Trade and Conservation of Medicinal Plants in Africa;
Session
5
09:00-10:30
Chairperson:
Co-
Chair :
Introduction
and Presentation of issues:
Key
Speaker 1:
Key
Speaker 2:
Key
Speaker 3:
Key
Speaker 4:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
10.30-10.50
:coffe/tea break
Session
6
Chairperson:
same
10:50-13:00
Participants
presentations
Questions
and Answers
Concluding
Analysis
13:00
:Lunch
Session
7
14:30-
15:30
Participants
Presentations:
Question
and Answer Session:
15.30-15.50:
Coffee/tea break
15.50
-18.00 : Session 7 ( continued)
Concluding
Analysis
Session
8
17:00-20:00
Cross-cutting Issues and Networking evening:
Thursday
18 May, 2000:
The
Status of Research and its Contribution to Promotion of Local
Communities'
Primary Health Care and to Sustainable Use and
Development
of
Medicinal
Plants, Traditional Medicine and Pharmacopoeia in Africa;
Session
9
9:30-10:30
:
Chairperson
:
Co-chair
:
Introduction
and Presentation of issues:
Key
Speaker 1:
Key
Speaker 2:
Key
Speaker 3:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
10.30-10.50
:coffe/tea break
Session
10
Chairperson:
same
10:50-13:00
Participants
presentations
Questions
and Answers
Concluding
Analysis
13:00
:Lunch
Session
11
14:30-
18:00
Chairperson:
same
Participants
Presentations:
Question
and Answer Session:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
Chairperson:
Friday
19 May, 2000:
Intellectual
Property Rights, Development of Medicinal Plant Genetic
Resources
and Drug Discovery:
Session
12
09:00-10:30
Chairperson:
Co-Chair
:
Introduction
and Presentation of issues:
Key
Speaker 1:
Key
Speaker 2:
Key
Speaker 3:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
10:30-10-50:
coffee/tea break
Session
13
10:30-13:00
Chairperson:
same
Participants
presentations:
Questions
and Answers
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
13:00
:Lunch
Session
14 : Plenary on Cross-cutting issues
Chairpersons:same
14:30-
16:00
Plenary
discussion:
Concluding
Analysis: Facilitator and Chairperson
16:30-18:30:
"THE
WAY FORWARD"
Drafting
resolutions, recommendations and declaration in French and
English
(
Organising Committee Rapporteurs)
19:00
roundtable banquet
CLOSING
SESSION:
Chairperson:
Closing
remarks :
*Posters
and exhibits will be open for viewing throughout the entire
conference
Cross-cutting
issues will be addressed throughout the entire conference
·
Financial Mechanisms and Sources of Funding, North-South and
South-South
collaboration and co-operation
·
Gender, Priority diseases (e.g. HIV/AIDS, Malaria, etc.), indigenous
knowledge
·
Ethics in traditional medicine and medicinal plants
--
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****
Dr.Ernest
Rukangira
Programme
Co-ordinator
Indigenous
Knowledge and Biodiversity Working Group
Medicinal
Plants and Local Communities Programme
ENVIRONMENT
LIAISON CENTRE INTERNATIONAL (ELCI)
P.O.
Box 72461, Nairobi ( KENYA )
Fax
(2542) 562175,
Tel
576114/25/.
E-mail
: erukangira@iconnect.co.ke
********************************************************************************\
****
Visit
http://www.nuffic.nl/ciran/announce/2000_05.html
and you
will get detailed information on our forthcoming Conference on
Medicinal
Plants Traditional Medicines and Local Communities in Africa:
Challenges
and Opportunities for the New Millennium
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Données
De
: Ernest Rukangira
<erukangira@iconnect.co.ke>
Date
: Vendredi 17, Mars 2000 15:04
Objet
: [phytomed] RENCONTRE REGIONALE DU
RESEAU ESPECES LIGNEUSES MEDICINALES
Chers
tous,Chères toutes
Nous
avons juge bon de mettre à votre disposition l'information
suivante
au cas où
vous
n'auriez pas pu paticiper à la réunion organisée par
SAFORGEN/IPGRI.
Avec
mille excuses pour ceux qui auraient deja recu ce message à partir
d'autres
sources.
Salutations
Ernest
SUB-SAHARAN
AFRICA FOREST GENETIC RESOURCES
PROGRAMME(SAFORGEN),IPGRI,REGIONAL
OFFICE FOR SUB-SAHARAN AFRICA.
CONTACT:
Dr.O.eyog-Matig@cgiar.org,IPGRI, C/o IITA
08 BP
0932 Cotonou
Benin,Tel:
( 229)350188/350553/350600
Fax:
(229)350556
PREMIERE
RENCONTRE REGIONALE DU RESEAU ESPECES LIGNEUSES MEDICINALES
DU
PROGRAMME SAFORGEN
COTONOU
DU 15-17 DECEMBRE 1999
PRINCIPALES
RECOMMANDATIONS
Considérant
le besoin exprimé par les pays africains au cours des
rencontres
sous-régionales, régionales et internationales de voir
l'Institut
International des Ressources Phytogénétiques (IPGRI)
faciliter
la création d'un Programme sur la conservation et la gestion
durable
des ressources génétiques forestières en Afrique au Sud du
Sahara,
Considérant
le démarrage effectif en janvier 1999 de ce Programme et du
retard
pris pour la désignation au niveau des pays africains, des
correspondants
nationaux de SAFORGEN,
Considérant
la tenue de ce premier atelier du Réseau Espèces Ligneuses
Médicinales
du Programme SAFORGEN,
Considérant
l'importance des espèces ligneuses médicinales dans les
pays
sahéliens et ayant noté une faible représentativité des
ressortissants
des pays de cette sous-région, les participants
recommandent
Considérant
le nombre élevé de réseaux, ONG et associations travaillant
sur les
plantes médicinales et considérant le manque de coordination et
les
difficultés qu'éprouvent les institutions nationales à avoir accès à
l'information,
Considérant
l'exploitation accélérée et anarchique des espèces
ligneuses
médicinales et compte tenu des besoins en nette augmentation
particulièrement
depuis la crise économique qui frappe les pays en
développement,
Considérant
que la plupart des résultats de recherche restent au niveau
des
chercheurs et sont insuffisamment vulgarisés,
Considérant
les difficultés rencontrées par les délégations des pays
africains
aux différentes négociations internationales sur les
ressources
phytogénétiques,
les
participants recommandent :
1) Que
tous les Gouvernements des pays d'Afrique au Sud du Sahara
désignent
les Coordonnateurs Nationaux SAFORGEN dans les délais de leur
convenance,
et que tous les participants à cet atelier jouent le rôle de
promoteurs
du Programme SAFORGEN dans leurs pays respectifs et
facilitent
la signature des accords entre leurs pays et l'IPGRI,
(2) Que
le Secrétariat du Programme, en collaboration avec les pays
membres
prenne des dispositions pour le démarrage effectif des
activités
du Réseau Espèces Ligneuses Médicinales,
(3) Que
les thérapeutes traditionnels fassent partie du Conseil
Scientifique
et Technique et du Comité de Pilotage de SAFORGEN pour une
plus
grande prise en compte des préoccupations des populations locales
et des
utilisateurs, les participants
(4) Que
le Coordonnateur Régional SAFORGEN diffuse les rapports et les
actes
de cette rencontre non seulement aux pays qui y ont pris part,
mais
également à ceux qui n'étaient pas présents et sollicite la
contribution
de ces derniers.
(5)
Qu'un recensement des structures nationales, sous-régionales et
régionales
travaillant sur les espèces ligneuses médicinales soit fait
par le
Programme et que SAFORGEN développe les mécanismes d'échange et
de
diffusion d'informations auprès des réseaux existants ainsi que des
stratégies
de liaison et de partenariat actif et réel au niveau local,
national
et international. Au niveau local, l'attention devrait être
portée
sur la participation effective et sur l'implication des
thérapeutes
traditionnels et des herboristes,
(6) Que
le Programme conduise une réflexion approfondie pour développer
des mécanismes
et stratégies pour un meilleur fonctionnement des réseaux
existants
et propose des actions nécessaires pour les appuyer
scientifiquement,
techniquement et financièrement.
(7) Que
le Programme, pour minimiser ses coûts de fonctionnement, se
serve
des fora qui sont organisés comme tribune pour faire mieux
connaître
le réseau et pour organiser les rencontres satellites de son
Réseau
Espèces Ligneuses Médicinales,
(8)
Qu'une recherche active des moyens financiers soit initié par
SAFORGEN
ou par les organisateurs de la Conférence internationale sur
les
plantes médicinales, la médecine traditionnelle et les communautés
locales
prévue à Nairobi du 16 au 19 mai 2000, pour permettre à ce que
les
participants au présent atelier puissent se retrouver ensemble au
cours
de cette conférence afin d'y participer activement et de
poursuivre
pour finaliser, les travaux entamés à Cotonou sur le
développement
des activités prioritaires du Réseau Espèces ligneuses
Médicinales
de SAFORGEN et que cette conférence examine en profondeur
les
mécanismes et stratégies de collaboration et coopération, de
partenariat
et de coordination dans le domaine des plantes médicinales,
de
pharmacopée et de médecine traditionnelle en Afrique,
(9) Que
le Programme SAFORGEN se rapproche du Programme MAB de l'UNESCO
et
d'autres organisations intéressées, pour développer une stratégie
concertée
afin de faciliter l'échange d'informations et surtout pour
mettre
cette information sous une forme simple, accessible aux
utilisateurs
locaux dans le cadre des initiatives en cours et
particulièrement
du Centre de Recherche pour le Développement
International
(CRDI) et de ses partenaires, qui consiste en la mise en
place
d'un système ou cadre de canalisation, de traitement et de gestion
des
informations au niveau africain et global sur les plantes
médicinales,
la pharmacopée et la médecine traditionnelle et
recommandent
(10)
Que les activités de recherche soient orientées vers le
développement
des critères permettant de définir les seuils critiques
des
menaces sur les espèces afin de développer des mécanismes d'alerte
rapide,
(11)
Que les activités de recherche soient focalisées sur la diversité
génétique
en rapport aux vertus thérapeutiques de l'espèce, l'impact des
menaces
sur cette diversité, les inventaires et les aires de
distribution
des principales espèces médicinales,
(12)
Que le Programme SAFORGEN en collaboration avec les institutions
détentrices
des bases de données, se charge de la vulgarisation des
informations
contenues dans ces banques et plus particulièrement celle
de
PHARMEL, auprès des scientifiques, mais également qu'un effort soit
fait
pour traduire ces informations en langues locales pour leur
accessibilité
aux thérapeutes traditionnels. SAFORGEN devrait collaborer
avec
les initiateurs de la banque de données PHARMEL pour y introduire
de
nouvelles données scientifiques disponibles et pour rendre ce
programme
informatique plus convivial et disponible pour tous sur
"internet
"
(13)
Que le Programme SAFORGEN fasse développer et mûrir, en
collaboration
avec les réseaux et institutions s'occupant des plantes
médicinales,
l'idée d'une décennie africaine des plantes médicinales, de
la
pharmacopée et de la médecine traditionnelle. Au cours de cette
décennie,
un effort de la part des pays africains en collaborations avec
les
pays développé, sera fait par les pays dans le domaine de la
connaissance
des espèces, leur conservation et leur utilisation durable
. Les
pays devront également au cours de cette période, réfléchir sur
actions
communes dans le domaine législatif, dans l'harmonisation du
contrôle
et de réglementation commerciale afin d'avoir des données
statistiques
permettant un meilleur suivi de l'exploitation des espèces.
Au
cours de cette décennie, que les capacités des pays africains en
matière
de négociation des conventions et des traités internationaux
relatifs
aux ressources phytogénétiques et particulièrement aux plantes
médicinales,
soient renforcées et améliorées.
Fait à
Cotonou, 17 Décembre
1999
Note:Plus
de 40 participants ont participé à la réunion.
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De
: Ernest Rukangira
<erukangira@iconnect.co.ke>
Date
: Vendredi 17, Mars 2000 13:12
Objet
: [phytomed] Information aux
participants
ORGANISATION
D'UN COLLOQUE INTERNATIONAL
COLLOQUE
REGIONAL SUR LE THEME :
"Plantes
Médicinales, Médecine Traditionnelle et Communautés Locales en
Afrique
: Défis et Opportunités du Prochain Millénaire"
Date :
du 16 au 19 Mai 2000
INFORMATION
SUPPLEMENTAIRE POUR LES PARTICIPANTS :
Cher
participant,
Les
Secrétariat d'organisation du Colloque sur les Plantes médicinales
,la
médecine traditionnelle et les communautés locales prévu à Nairobi,
Kenya
du 15au 19 mai 2000 a chargé Travelour Ltd, une agence de voyage
basée à
Nairobi de gérer et faciliter toutes les réservations des hôtels
choisies
pour la conférence à Nairobi.
Veuillez
communiquer avec Travelour Ltd par courrier ou par fax pour
réserver
votre bloc de chambres. Les réservations devront être
définitives
d'ici le 15 avril 2000 et il faudra communiquer les noms des
membres
de la délégation d'ici le 30 avril 2000.
Adresse
:
TRAVELOUR
LTD.
P.O BOX
12547
NAIROBI,
KENYA
TEL:
254-2-222942,229093,340532,332366
FAX:
254-2-332604/244684
Email:
travlour@africaonline.co.ke
Veuillez
réserver une copie de votre correspondance avec Travelour a :
Dr.
Ernest Rukangira, Email: erukangira@iconnect.co.k
ou
ernestruka@yahoo.com
Autres
renseignements utiles
Nairobi,
qui se trouve à une altitude de 1 660 mètres, jouit d'une
climat
tropical tempéré toute l'année durant. Les températures varient
entre
environ 24o Celsius le jour et environ 14o Celsius la nuit. Le
mois de
Mai est la saison des pluies au Kenya, et il y a possibilité de
fortes
averses l'après-midi et en soirée.
Il faut
un passeport valide pour entrer au Kenya. Selon votre
nationalité,
il pourrait aussi vous falloir un visa (US$ 50) - veuillez
consulter
votre agent de voyages ou le Consulat du Kenya le plus
proche.
Veuillez consulter votre agent de voyages et/ou votre médecin
de
famille au sujet des inoculations et des autres précautions à prendre
en
matière de santé, par exemple, des comprimés contre la malaria.
L'électricité
au Kenya est de 220/240 volts et 50 cycles. N'oubliez pas
d'apporter
les prises, convertisseurs et branchements appropriés, en
particulier
pour votre matériel informatique. L'eau du robinet est
généralement
saine à boire dans les grands centres, comme Nairobi.
Les
participants seront accueillis a l'aéroport International de
Nairobi
et seront accompagnés au moment du départ. Par conséquent nous
vous
prions de bien vouloir nous communiquer votre numéro de vol ainsi
que vos
dates d'arrivée et de départ.
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