TOP
VERT
(Association
Sénégalaise pour la Protection et la Vulgarisation des Plantes Médicinales)
PARTIE 1: PLANTES MEDICINALES ET MEDECINE TRADITIONNELLE EN
AFRIQUE: réflexion sur les problèmes et perspectives.
1.1
INTRODUCTION
La
population du Sénégal est en progression constante depuis un demi-siècle et on
peut estimer, d’après un recensement de 1970, à 3.822.000 les utilisateurs des
plantes médicinales.
Sa
répartition est allée d’année en année en faveur de la ville de Dakar où se
trouve concentré l’ensemble des infrastructures administratives et sociales du
pays. Nous tenterons de tenir compte de ces différences durant notre exposé, si
nécessaire.
1.1.1
Plantes Médicinales
et Médecine Traditionnelle en Afrique: Signification et Tendances.
En
ville le circuit thérapeutique emprunté par les ménages lors d’un problème de santé
passe d’abord par les structures médicales modernes (76% pour un échantillon de
571 ménages interrogés). 2,3% seulement ont directement recours aux
tradipraticiens.
Cela ne signifie pas forcement un
changement radical de mentalité, mais plutôt de la disponibilité des
infrastructures et le conditionnement de la culture occidentale, très présente
en ville. Par ailleurs, les femmes sont une catégorie très attachée à
l’auto–médicament, au recours prioritaire à l’entourage ou aux guérisseurs.
En zone rurale, la tendance culturelle,
comme en ville, porte vers les solutions traditionnelles. L’accessibilité des
tradipraticiens et l’éloignement des dispensaires les incitent à choisir en
premier lieu un traitement traditionnel.
1.1.2
Place et Rôle de la
Médecine Traditionnelle dans les Soins de Santé Primaires:
Dans les soins de santé primaire, la
médecine traditionnelle semble occuper la première place, suivie de
l’automédication et de la médecine moderne. Les hommes étant souvent absents
des foyers, ce sont les femmes qui prennent les initiatives, sur les conseils
de proches ou des tradipraticiens.
1.1.3
Développement de la
Pharmacopée Africaine:
De timides tentatives d’intégrer les
remèdes traditionnels dans les produits pharmaceutiques ont été tentées dans le
cadre des projets de plantes médicinales.
Trop de points de vente de médicaments
et remèdes à base de plantes médicinales existent. Ils sont de plus très mal
connus du public, qui n’est pas habitué du reste à la formule de l’achat des
plantes à la pharmacie.
En effet l’usage, l’acquisition et la
posologie d’un remède obtenu chez un tradipraticien sont regroupés en une seule
opération.
1.1.4
Contexte Global:
Les résolutions concernant l’utilisation
et l’usage des plantes médicinales et la pratique de la médecine traditionnelle,
reposent encore sur des fondements statistiques. Les rencontres organisées au
Sénégal sont souvent axées sur l’organisation des tradipraticiens et la
tentative de réconcilier la médecine moderne et la médecine traditionnelle.
1.2
ASPECT DES
RECHERCHES SUR LES PLANTES MEDICINALES ET LA MEDECINE TRADITIONNELLE EN AFRIQUE
(SENEGAL)
Recherche
Ethnobotanique
Les recherches effectuées sur les
plantes médicinales sont encore timides. Elles concernent des travaux
déséroptifs des espèces existantes et leurs catégorisations culturelles,
scientifique et technique. Des recherches privées existent à des fins
commerciaux sur une petite partie des espèces existantes au Sénégal.
1.3
UTILISATION ET
CONSERVATION DES PLANTES MEDICINALES EN AFRIQUE (SENEGAL)
1.3.1
La Contribution des Forets dans les Soins de Santé
Primaire :
La
végétation du Sénégal, comme celle des autres régions du globe, est très
étroitement commandée à la fois par la situation géographique, les
particularités climatiques et la nature des sols. Mais de tous les facteurs
interférants sur le caractère du paysage végétal, le plus important est la
pluviométrie.
Il
tombe 300 mm de pluie au Nord pendant deux mois et plus de 1.800 mm à l’extrême
Sud-Ouest pendant près de six mois. Entre le Nord et le Sud du pays, les
formations végétales sont différentes. Et avec l’avancée inquiétante du désert,
due à la sécheresse, les forêts voient leur rôle de poumons du pays diminuer
d’année en année. Il faut aller de plus en plus loin pour trouver la plante
nécessaire aux thérapeutiques traditionnelles.
1.3.2
Propagation, Culture Et Domestication Des Plantes
Médicinales
En
dehors du projet d’aménagement d’un parc d’espèces représentatives des plantes
médicinales du monde initié par TOP VERT, aucune culture organisée n’a été
tentée. Il existe des pépinières aménagées et des perspectives pour développer
l’idée existante avec l’installation du tecnopôle ; centre de développement des
secteurs économiques d’avenir.
1.3.3
Protection Du Savoir Traditionnel Et Pratique :
Il
existe des travaux universitaires sur la médecine traditionnelle, et des livres
ont été publiés. Cependant la connaissance détenue par les tradipraticiens tend
à disparaître car l’enseignement n’est plus transmis à la jeune génération,
attirée par l’exode vers les villes. Les plantes sont de plus en plus rares et
le métier de plus en plus difficile.
1.3.4 Incitations Economiques Et Politiques, Législation :
L’Etat
à plusieurs occasions a manifesté son soutien aux actions entreprises pour
développer l’usage et la conservation des plantes médicinales au Sénégal. Des
initiatives privées ont montré la volonté d’exploiter ce domaine encore en
friche.
1.3.5 Prospection de la Biodiversité, Commerce
International et Droits Traditionnels des Ressources Pour les Communautés
Locales :
Des
études descriptives ont été réalisées sur la consommation des plantes
médicinales par des ONGs. Elles se sont concentrées sur les circuits
thérapeutiques empruntés par les ménages en cas de maladie et les types de
remèdes employés. Des répertoires existent sur les espèces locales et leurs
effets thérapeutiques sur le plan international, les communautés villageoises
locales constituant le premier maillon de l’exploitation, pour les industries
de transformation. Dans le cas des exploitations de produits bruts, les
expériences sont privées et encore peu développées.
1.4
COMMERCIALISATION ET
VALEUR ECONOMIQUE DES PLANTES MEDICINALES
1.4.1 Valeur Et Potentialités Economiques Des Petites
Entreprises Industrielles De Fabrication Des Phytomédicaments :
L’industrie de fabrication des
phytomédicaments est pratiquement inexistante. Les expériences de
commercialisation tentées par des ONGs
locales, consistent à conditionner par sachets en papier ou plastique des
produits naturels séchés en l’état ou écrasés en poudre. Les quantités
produites sont faibles, et ils sont défavorisé par la nouveauté du procédé qui
consiste en des ventes en pharmacies, mais les prix, très abordables,
s’inscrivent dans une fourchette qui ne dépasse pas 500f/100g.
1.4.2 Stratégies pour Promouvoir la Régénération des
Revenus et le Partage des Bénéfices :
Deux univers existent dans la mise en
place des stratégies
–
les ONGs, qui
sont d’une vocation sociale. Elles utilisent la sensibilisation pour convaincre
les populations de l’efficacité et de la rentabilité économique des plantes
médicinales.
–
Les organes
privées, qui évoluent dans la cosmétique et la médecine biologique. Ils
utilisent la publicité pour promouvoir des produits qui sont importés de
l’étranger et vendus dans les pharmacies spécialisées. Les bénéfices recueillis
par les ONGs sont réinjectés dans les programmes de développement ou dans
l’amélioration des procédés de commercialisation.
1.4.3 Commercialisation et Valeur Economique des Plantes
Médicinales et de la Médecine Traditionnelle
Les médicaments traditionnels sont
vendus en pharmacie à 150 F CFA le sachet de 40 g. Chez le tradipraticien, le
client paie la consultation et le remède prescrit ou administré. La valeur de
la rémunération est très variable en nature ou en espèces. Elle est
généralement à la portée des populations.
1.5
OUTILS
ET STRATEGIES D’INFORMATION, COOPERATION REGIONALE ET INTERNATIONALE
La principale méthode de promotion des
plantes médicinales consiste en la présentation plus ou moins élaborée (texte,
dessin ou photo couleur) de la plante, des informations sur son efficacité, son
utilisation et les noms qu’elle porte dans les différentes langues locales.
Les supports sont des fiches ou des
publications spécialisées, des quotidiens d’informations générales, la radio à
travers des émissions d’intérêt public ainsi que la publication d’ouvrages et
de répertoires sur les plantes médicinales dans le cadre de la coopération sous
régionale. L’initiative de BAMAKO s’est attelée à travailler sur les points
suivants :
–
l’approvisionnement
en médicaments,
–
les procédures
de définitions des coûts de recouvrement,
–
la
rationalisation des prescriptions,
–
l’accessibilité
garantie et durable des populations aux produits,
–
l’information
et la sensibilisation des populations.
PARTIE 2
(documents
à scanner et insérer)
PARTIE 3 : LECONS TIREES ET CONCLUSIONS
Le bilan des expériences menées
jusqu’ici ne fait état que de timides avancées dans la promotion des plantes
médicinales. Ces expériences ont surtout porté sur les études et l’édition
d’ouvrages. Il en résulte l’existence d’un marché parallèle de médicaments
occidentaux, en dépit des risques encourus.
–
la
prédominance du secteur moderne dans les circuits thérapeutiques malgré des
contraintes économiques pesant de plus en plus sur les ménages, qui rendent son
accès plus difficile.
–
une très faible
connaissance du public à propos des alternatives moins coûteuses proposées.
A ce jour, le problème reste entier
aussi bien en terme de recherche de commercialisation que d’information.
3.
IMPORTANCE ET AVENIR
DE LA MEDECINE TRADITIONNELLE
3.1
Limitation et Potentialités
:
Les
potentialités résident d’une part dans son caractère alternatif aux problèmes
d’accès à la médecine moderne et d’autre part dans l’attente manifestée par les
populations envers les plantes médicinales ; car elles y trouvent des
qualités de moindre coût, efficacité et complémentarité avec la médecine
moderne. Nous pouvons également noter l’attachement culturel important à ce
type de médecine. Cependant des réticences sont observées en matière de dosage
et de qualité des produits. Ceci contrairement à la médecine moderne qui jouit
pleinement de la confiance des populations et services publics en la matière.
3.2
Actions Futures :
Elles devront porter sur la mise en
place des programmes destinés à encourager et appuyer les initiatives pour
mettre en place des médicaments à base de plantes médicinales efficaces, peu
chères et offrant une sécurité garantie. De plus, il est indispensable de
définir les critères de la législation des produits et la législation sur la
commercialisation et l’exploitation.
PARTIE 4:PROJETS EN COURS AU SENEGAL
4.1
LES OBJECTIFS DE TOP
VERT
Pour le bien être, TOP VERT souhaite que
les populations puissent se soigner grâce à des moyens peu coûteux. Pour cela
TOP VERT se fixe trois objectifs fondamentaux : la sensibilisation ou la vulgarisation,
la protection et l’information sur l’éducation environnementale.
–
Inviter les
populations à mieux réaliser les avantages de la protection et l’utilisation
des plantes médicinales, c’est les sensibiliser à leur faible coût, à leur
efficacité depuis longtemps prouvée et à la nécessité de les protéger.
–
Pour que ces
plantes soient utilisées par les guérisseurs ou tradipraticiens, il faut
qu’elles existent en quantité suffisante et dans des conditions
favorables ; c’est le rôle de la protection.
–
Enfin la
médecine traditionnelle étant un des aspects de la culture africaine l’intérêt
qu’elle suscite chez les chercheurs, scientifiques et autres intellectuels,
entraîne la nécessité d’une mise à jour perpétuelle du niveau de connaissances
dans ce domaine, et la possibilité pour tous les acteurs intéressés de disposer
de ses connaissances sur place ou à distance.
4.2
LES ACTIVITES DE TOP
VERT
Depuis sa création, après une première
période d’implantation marquée par des démarches liées à son implantation et à
l’information des organismes et structures susceptibles d’entretenir avec elle
toute forme de collaboration ; TOP VERT s’est attelée à la conception et
aux méthodes de concrétisation de ses projets. Cela a permis de donner suite
aux contacts préalablement établis avec les organes de financement locaux et
internationaux.
Cependant, beaucoup de difficultés liées
au manque de moyens matériels et financiers, d’expertise suffisante en matière
de gestion institutionnelle et technique de l’association ont constitué un
frein au développement de TOP VERT. Ces blocages fondamentaux ont fait l’objet
d’une réflexion, quant aux nouvelles orientations à prendre et aux meilleures
méthodes de travail applicables à l’association.
Ainsi, l’année 1998 s’est ouverte à une
vision des fondateurs de TOP VERT plus synthétique et plus réaliste quant aux
contraintes existantes et aux ouvertures qu’offre l’avenir.
L’option choisie a été de rester fidèle
aux objectifs fondamentaux de l’association dans la planification des activités
de TOP VERT ; de conserver un équilibre entre le volet protection et le
volet vulgarisation ; de procéder à une analyse des projets envisagés en
rapport avec leur faisabilité et leur importance pour la communauté. En
collaboration avec ENDA TM, un choix a été fait sur quelques espèces de plantes
médicinales, pour leur diffusion auprès des populations dakaroises. 500 fiches
sont déjà distribuées auprès des ménages de particuliers ou de groupements. Une
évaluation se fera au terme de cette campagne d’information et ? ? ?
retourner à la base qui veut dire que « chaque facteur de développement
doit avoir une base solide ».
4.3
QUELQUES PROJETS DE
TOP VERT
4.3.1
PAPIRUS :
Projet de création d’un parc botanique :
Aménagé dans la zone du village de
NOFLAYE à 35 km de Dakar, le parc prendra vie dans la réhabilitation de la
réserve de NOFLAYE, zone non encore polluée par des déchets toxiques de
l’urbanisation avancée. Le projet consistera à créer une réserve dans une forêt
classée de 15,9 hectares déjà clôturée par le Ministère de l’environnement du
Sénégal, regroupant les espèces multiples les plus utilisées par les
guérisseurs du Sénégal et de la sous région. L’originalité du projet repose sur
des objectifs précis, la considération des facteurs qui conditionnent sa
réussite et des orientations stratégiques prises par des responsables
compétents. Le projet se justifie par la variété des espèces végétales qui
entrent dans la fabrication de la pharmacopée originaire du Sénégal ou d’autres
pays, ces différentes plantes étant une matière de plus en plus recherchée par
les tradipraticiens qui les utilisent. Ces derniers ont de plus en plus de mal
à trouver ces plantes du fait de leur raréfaction ou de la disparition pure et
simple de certaines espèces.
Cette diminution de la flore estimée
dans l’ordre de 0% en 1984 et de 30% en 1994, est causée par l’avancée du
désert, accentuée par la coupe des arbres, les usages domestiques, le
surpâturage, les méthodes culturales des villageois qui entraînent la régression des provisions des plantes médicinales
estimée à 46% par les guérisseurs du centre expérimental de la médecine
traditionnelle de KEUR MASSAR. Source : université de Dakar.
Il faut se déplacer toujours plus loin
pour se procurer ces plantes, les points de collecte les plus prisés étant les
zones offrant encore un climat acceptable pour la gestation des plantes comme
(Casamance–Est) et d’autres pays africains (Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire,
etc.).
Cette régression concerne des plantes
aux bienfaits thérapeutiques très variés. Les scientifiques, chercheurs,
médecins modernes dont le travail repose sur l’expérimentation, entre autres,
de l’efficacité des plantes médicinales dans les méthodes thérapeutiques
modernes ? ? ?comme
complément des plantes qui sont cultivées sur les lieux de recherche situés en
zones urbaines ou contiennent un taux de pollution inacceptable pour les
espèces cultivées dans les jardins d’universités.
Exemple de l’université de Dakar :
40% ne répondent pas aux exigences des expériences réalisées : résultats
biaisés, inefficacité des plantes, forte mortalité ou mauvaise pousse des
espèces cultivées.
Les consommateurs privés, c’est-à-dire
les ménages, sont confrontés à des réalités économiques les poussant à se
tourner de plus en plus vers la médecine traditionnelle, moins coûteuse et
jugée efficace (selon une étude sur les connaissances et les comportements des
ménages en matière de consommation des médicaments et d’approche des circuits
thérapeutiques dans la région de Dakar).
De ce fait les plantes sont de plus en
plus demandées. Signalons que des actions ont été déjà entreprises dans le
domaine de la recherche (jardin botanique de l’université de Dakar et de
commercialisation, recherche réalisée par ENDA TM au Sénégal).
Notre projet représente donc une
continuation, il vient développer et diversifier les travaux déjà réalisés, en
contribuant directement à compléter des failles par la fourniture de l’intrant
de base de tous les acteurs de la médecine traditionnelle.
Ses objectifs consistent en la
consommation et la recherche.
4.3.2
ALDUS :
Projet de sensibilisation de la jeunesse
sur la consommation des plantes médicinales. Il s’agit de mener une action de
sensibilisation sur une durée déterminée au cours de l’année scolaire. Cette
sensibilisation se fera au plan expérimental dans un établissement scolaire,
particulièrement dans un quartier populaire de Dakar.
4.3.3
DELTA :
Il consiste à utiliser le mur d’un des
stades de Dakar comme support d’expression artistique et de sensibilisation sur
l’utilisation des plantes médicinales. Il s’agit d’inviter des artistes
sénégalais à mettre leur talent au service de l’information et de l’éducation
des populations. Le bénéfice généré par la réalisation se justifie doublement
en soi-même, le parc plus qu’un lieu de visite représentera un outil déterminant
dans l’avènement des recherches entreprises en médecine traditionnelle vers un
pôle d’orientation, il sera une institution nationale et internationale. Les
espoirs que nous avons placés en ces projets sont donc grands. Nous souhaitons
que toutes ces idées se concrétisent et contribuent au développement et au bien
être des populations.
PARTIE 5 : LITTERATURE SUR LES PLANTES MEDICINALES
AU SENEGAL, EN AFRIQUE ET DANS LE MONDE ENTIER
1-
FORTIN D, LO
M, MAYNART G, : Plantes Médicinales au Sahel, Dakar ENDA TM
éditions 1997 série étude et recherche n°187-188-189 « édition
révisée »
2-
WERNER
D ; Là où il n’y a pas de Docteur, Dakar ENDA TM éditions 1997
Série études et recherches n°171 à176 3ème édition augmentée et corrigée
3-
DIKSON
M : Là où il n’y a pas de Dentiste, Dakar ENDA TM éditions Mars
1990 version française adaptée à l’Afrique occidentale par ENDA Tiers Monde
études et recherches, n°129/130
4-
AUBREVILLA
A : Flore forestière soudano-guinéenne, Paris. Ed. Géorg. Mar et
COL. 1950
5-
BERHAUT
J ; Flore du Sénégal, 2ème éd. Plus complète avec les
forêts humides de la Casamance, Dakar, Clairafrique édit. , 1967
6-
BERHAUT
J. ; Flore illustrée du Sénégal, tome 1 à IV, Dakar clairafrique,
1971 à 1979
7-
COLLOQUE DU
CAMES, Médecine traditionnelle et pharmacopée africaine, Lomé 1974
8-
COLLOQUE DU
CAMES (deuxième) ; Médecine traditionnelle et pharmacopée africaine,
Niamey 1976
9-
COLLOQUE DU
CAMES (troisième) ; Médecine traditionnelle et pharmacopée africaine,
Kigali, Rwanda, 1977
10-
DAGA M ; Contribution
à l’étude de la pharmacopée traditionnelle au Niger, thèse fac. Méd. Dakar,
1977, n°7
11-
DE LAUTURE ET
WONE I. ; L’utilisation du médicament traditionnel dans une zone
suburbaine de DAKAR, 1977, n°7
12-
FANRSWORTH
N.R. et MORRIS R.W., am ;J pharm.,
mars - avril 1976.
13-
FORGUES M. Quelques
remèdes simples utilisés en Haute Volta, Centre d’études Economiques et
Sociales de l’Afrique Occidentale, Février 1980
14-
HALLAMG M., Medical uses of flowering plants in the Gambia
department of forestry of Gambia, July 1979
15-
KANE O. E., Contribution
à l’étude de la pharmacopée traditionnelle dans la région du fleuve,
mémoire FAC. Sciences Dakar, 1978
16-
KERHARO J., L’aromathérapie
de la pharmacopée sénégalaise traditionnelle, journal agricole tropical
botaniste, appl., 1971, 18, 109-141
17-
KERHARO J., Esquisse
d’un programme d’étude et d’exploitation des ressources de l’Afrique noire en
plantes médicinales, bull. Méd. Fac. Méd ; Dakar, 1965, 13,212, 216
18-
KERHARO J. Le
NGER (Guiera Senegalensis J.M.G.ml.)
Emplois en médecine traditionnelle africaine, chimie et pharmacologie,
commun. 7th
biennial conference westafric. Sc. Assoc. Ibadan (NIGERIA),
mars - avril 1970
19-
KERHARO J., Pharmacopées
africaines traditionnelles et recherche scientifique. Comm. 2ème
congrès intr. Africanistes, bull.mém.fac.méd.pharm. Dakar, 1967, 15, 238-251
20-
KERHARO J. et
ADAM J.G., La pharmacopée sénégalaise traditionnelle, plantes médicinales et
toxiques, Paris vigot 1974 1012 p.
21-
KERHARO J.
SYLLA O. ATISSO M., Les problèmes de la recherche sur les plantes
médicinales africaines. Rapport aux 6èmes journées médicinales
de Dakar, 1969
22-
KERHARO J., Les
techniques à prédominance positive de la médecine traditionnelle en milieu
sénégalais, Communication 7èmes journées médicinales Dakar,
janvier 1971 méd. Afrique noire, 1971, 18, 925-931
23-
LAFFIT N., Comment
recevoir l’introduction dans notre pharmacopée des plantes médicinales
originaires des colonies françaises, Revue fraternité des pays chauds,
1938, 18.
24-
MAHLER., Le
bâton d’escalade, Santé du monde, nombre 1977
25-
NDAIYE M.J.
Contribution à l’étude de la pharmacopée traditionnelle au Sénégal oriental,
Thèse fac. Méd. Dakar 1977, n°41 A
26-
OMS, Médecine
traditionnelle, série des rapports techniques, afro n°1, Brazzaville, 1976
27-
OMS, (bureau
régional pour Afrique), Médecine traditionnelle et son rôle dans le développement
des services de santé en Afrique, Brazza, juin 1976
28-
OMS, Promotion
et développement de la médecine traditionnelle, Série des rapports
techniques n°622, Genève, 1978
29-
PENSO G., Retour
à la nature, Santé du monde , juillet 1978, 28-31
30-
QUOTIDIEN DU
MEDECIN, Faut-il intégrer sorciers et guérisseurs dans le système de santé.,
ED. Hebdo. Inter 16/3/1976
31-
RAGEAU J., Les
plantes médicinales de la nouvelle Calédonie, Travaux et documents de
ORSTOM n°23, Paris, 1973
32-
SENGELE K., Revalorisation
de la pharmacopée traditionnelle africaine, Horus, août-sept.1979, 10,
11-21
33-
SONELET J., Médecine
traditionnelle et art, Afrique noire, Semaines des hôpitaux, 1971, 47, 52,
3016-3025
34-
UNIVERSITE
NATIONALE DU RWANDA, Médecine traditionnelle et pharmacopée rwandaise,
Etudes rwandaises, vol. X, n°spécial , nov. 1977
PARTIE 6: EVENEMENTS CLES
–
Rencontre
annuelle des guérisseurs et tradipraticiens
–
Inauguration
du TECHNOPOLE
–
Initiative de
BAMAKO
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