ORGANISATION
D'UN COLLOQUE INTERNATIONAL
PREMIER COLLOQUE REGIONAL SUR LE
THEME :
"Plantes Médicinales, Médecine
Traditionnelle et Communautés Locales en Afrique : Défis et Opportunités du
Prochain Millénaire"
Date : du 9 au 12
Mai 2000
Lieu : Nairobi, Kenya .
Le Centre de
Liaison pour l'Environnement International (CLEI), basé à Nairobi, Kenya, en
collaboration avec d'autres organisations, a
le plaisir de porter à la connaissance des partenaires intéressées,
qu'il organisera, du 9 au 12 Mai 2000, à
Nairobi au Kenya, un colloque international de quatre jours sur la promotion et
la mise en valeur des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en
Afrique. Le Colloque comportera une série d'exposés, de posters et de travaux
en ateliers. Il se déroulera pendant la semaine qui précède la cinquième réunion de la Conférence des
Parties à la Convention sur la Diversité Biologique, prévue du 15 au 26 Mai 2000 à Nairobi
au Kenya.
Les travaux de ce colloque seront
centrés sur les questions relatives aux plantes médicinales utilisées dans la
médecine traditionnelle humaine et vétérinaire, aux pesticides extraits de ces
plantes et aux plantes aromatiques et cosmétiques. Il est prévu que les
représentants de gouvernements et de bailleurs de fonds, les hommes de science,
les chercheurs, les responsables politiques, les conservateurs de la nature,
les environnementalistes, les ONG, les agents de santé, les guérisseurs et les
praticiens traditionnels, etc. prendront part à
ce colloque. Les spécialistes en
la matière en provenance des autres continents sont également invités à participer aux travaux de ce colloque pour
partager leurs expériences ou pour être informés sur l'évolution récente
enregistrée dans ce domaine en Afrique. Les langues officielles de ce colloque
sont l'anglais et le français.
Importance et but du colloque
L'on trouve des
informations ayant trait aux plantes
médicinales et à la médecine
traditionnelle dans des documents et bases de données publiés à l'intention des
lecteurs dans une gamme variée de disciplines dont la botanique, l'écologie, la
chimie, la médecine, la science vétérinaire, etc. Toutefois, il existe peu de
publications qui font le point des travaux en cours et qui passent en revue et
analysent les progrès récents en matière du savoir-faire traditionnel ou qui
mettent en relief des expériences locales, des défis, des contraintes, et des
possibilités concernant l'utilisation de la médecine traditionnelle, la
préservation ainsi que l'exploitation et la gestion durables des plantes
médicinales. En Afrique comme ailleurs, la plupart des publications disponibles
sur les plantes médicinales et la médecine traditionnelle ont porté plus ou
moins sur les travaux de recherche à caractère académique et sur la conception
de la médecine traditionnelle africaine, et ses rapports avec
d'autres systèmes médicaux. Cependant, les population, les décideurs politiques
et les communautés locales ont l'accès limité à ces publications,
à cause de leur style académique et leur rareté.
A l'échelon
mondial, la Convention sur la Diversité Biologique, traité international signé
par plus de 170 pays membres de l'Organisation des Nations Unies, fournit un
cadre juridique international régissant la préservation ainsi que la
prospection de la diversité biologique, y compris l'accès aux matériels
génétiques et leurs échanges. Diverses approches sont
à l'essai à
travers le monde afin de trouver les moyens de minimiser, voire de
réduire et/ou de freiner l’appauvrissement de la diversité biologique,
en particulier dans des zones de la planète biologiquement riches comme les
régions tropicales d'Afrique. Il s'avère que la réalisation de l'objectif
principal de réduire la dégradation de l'habitat, qui va de pair
avec l'appauvrissement de la diversité bioculturelle est malheureusement encore
loin d'être atteint.
L'Organisation
Mondiale de la Santé (OMS) estime que 80% de la population des pays en
développement sont tributaires de la médecine traditionnelle, en
recourant principalement aux médicaments extraits des plantes pour satisfaire
à leurs besoins de soins de santé
primaire. Par ailleurs, la pharmacopée moderne comporte encore 25% au moins de
médicaments extraits des plantes et bien d'autres produits synthétiques
analogues mis au point à partir des
composés prototypes isolés des plantes. La demande des plantes médicinales
augmente aussi bien dans les pays en développement que dans les pays
développés. Il est cependant étonnant de constater que les grosses quantités de
matériel commercialisées proviennent encore des récoltes sauvages dans des
forêts naturelles, alors que très peu d'espèces de plantes médicinales sont
cultivées.
Par ailleurs,
l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a désigné l'année 2000, année où tout
le monde devrait avoir accès à la santé,
objectif louable mais qui est encore
loin d'être atteint. Pendant que les gouvernements africains font face aux
coûts élevés et à l’inefficacité des programmes officiels de santé destinés à
la population, la médecine à base de plantes et les guérisseurs traditionnels
se voient accordés une attention particulière de la part de hauts
fonctionnaires dans le domaine de la
santé et de la recherche médicale, à l’échelon international et
de la part des établissements de formation médicale.
La hausse des
prix des médicaments conjuguée à la
baisse du pouvoir d'achat de la population en Afrique, suite à la
dévaluation des monnaies africaines et à des ressources nationales limitées
rendent obligatoire l'intensification des efforts dans la production des
médicaments à base des plantes. Un certain nombre d'organisations
internationales ont désormais commencé à appuyer en Afrique,
des projets et programmes qui mettent à profit l'acceptabilité culturelle et
économique des pratiques médicales traditionnelles sûres et efficaces. Par
contre, dans bon nombre de pays africains, il n'existe des programmes
unifiés et cohérents ni pour promouvoir les plantes médicinales, la médecine
traditionnelle et l'éthnopharmacologie, ni pour des pratiques durables de
récolte des ressources biologiques. Différents acteurs entreprennent à titre
individuel de nombreux travaux isolés sans aucun appui institutionnel, et sans
aucune coordination à l'échelon national et régional. Cette situation pourrait
mener souvent à un dédoublement des efforts ou à un usage peu efficace des
ressources disponibles en quantités limitées.
Il existe encore
des lacunes au niveau de la compréhension du fonctionnement des systèmes du
savoir-faire traditionnel de santé, de
leurs limites, de leurs potentialités et de leurs perspectives. On observe un
manque de compréhension de la vision globale propre aux guérisseurs
traditionnels et du rapport entre le traitement basé sur des approches
spirituelles et celui basé sur les plantes. En ce qui concerne les aspects de
la recherche en rapport avec les plantes médicinales, la médecine traditionnelle
et les communautés locales, un certain nombre de questions restent encore sans
réponses. Par exemple : Quels sont les remèdes traditionnels qui
fonctionnent le mieux, lesquels ont-ils été testés et comment ? Comment peut-on
valider au niveau de la communauté le savoir-faire, les pratiques et les
préparations relatives à la médecine
traditionnelle ? Quelles méthodes et quels outils faut-il utiliser ? Comment
peut-on uniformiser ou standardiser, au niveau local et au niveau des
guérisseurs, les pratiques de la médecine traditionnelle, et quelles méthodes
et quels équipements faut-il employer ? Dans quelles conditions la médecine
traditionnelle fonctionne-t-elle le mieux ? Qui est-ce qui s'en sert et dans
quelles conditions ? Dans quelle mesure les communautés locales acceptent-elles
les pratiques de la médecine traditionnelle ? Qu'est-ce qui a été fait pour
favoriser la collaboration et le respect professionnel mutuels entre les
médecins modernes et les médecins traditionnels ? Quels sont les aspects de la
médecine traditionnelle qu'on peut combiner avec le style occidental de la
médecine et comment ? Est-ce que toutes les plantes médicinales africaines ont
été identifiées, répertoriées et documentées ? Avons-nous une idée sur les
plantes en danger d’extinction, sur la nature et le nombre de plantes déjà
disparues, et de plantes qui nous restent ? Comment peut-on
inclure les méthodes traditionnelles de santé dans un programme de recherche
médicale ? Comment le savoir-faire traditionnel local peut-il contribuer à la
diffusion, ainsi qu'à la conservation et l'utilisation durable
des plantes médicinales ? Quelles sont les limites et les potentialités des
croyances spirituelles relatives aux systèmes traditionnels de guérison ? Quels
sont les pratiques et les croyances culturelles en Afrique qui œuvrent en
faveur de l'utilisation durable et la conservation des plantes médicinales ?
Quelles sont les méthodes agro-écologiques efficaces qui favorisent la
diffusion et la mise en culture des plantes médicinales particulières ?
De nombreux pays
africains évoluent derrière le reste du monde en ce qui concerne l'élaboration
de politiques nationales relatives à l'accès aux ressources génétiques et aux
échanges commerciaux des plantes médicinales. Par conséquent, il se développe
entre les producteurs et les marchés potentiels, un climat de
méfiance et de suspicion remarquables. Pour accorder aux plantes médicinales la
valeur appropriée sur le marché
intérieur et sur le marché mondial, il faut mettre au point des politiques de
nature à orienter de telles transactions. L'adoption des stratégies adéquates
ciblées dans le but de sensibiliser davantage les responsables politiques et
les bailleurs de fonds à propos de la
nécessité de promouvoir l'utilisation durable et la conservation des plantes
médicinales, ainsi que la médecine traditionnelle en Afrique peut
servir de complément aux efforts de la recherche visant à atteindre cet objectif.
Le colloque
passera en revue les initiatives en cours en faveur du développement des plantes
médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique. Il établira l'état des
lieux en mettant en relief les
réalisations, les programmes d'activités, les points à renforcer, les mesures d'incitation qui s'imposent, les
points forts et les points faibles. Il mettra en exergue, les
exemples de politiques, de recherches, de législation, d’actions locales pour
témoigner des efforts déployés à l'échelon national en vue de promouvoir les
plantes médicinales et la médecine traditionnelle en Afrique, leur conservation
et utilisation durable. Le colloque contribuera à l'échange d'information sur
le sujet en question en faisant à la fois le point des travaux individuels, des
institutions et ceux relatifs aux expériences de communautés africaines. Il
mettra en relief le rôle vital joué par les plantes médicinales et la médecine
traditionnelle dans les soins de santé publique et la nécessité d'adopter des
stratégies et des mesures urgentes en faveur de ce secteur.
Objectifs du colloque
·
Faire l’état des lieux et diffuser les informations sur
les travaux en cours, les expériences et diverses initiatives de recherche dans
le domaine des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique.
·
Identifier les défis clé, les expériences, et les
perpectives dans le cadre de la promotion des
plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique,
ainsi que les leçons pratiques qu'on peut tirer de l'histoire récente de la
Recherche et du Développement dans
ce secteur.
·
Fournir aux parties intéressées des informations
actualisées, ainsi que des propositions de projets et de recommandations
d'actions orientées vers une approche systématique et intégrée visant le
développement durable d'une coopération axée sur les plantes médicinales et la
médecine traditionnelle en Afrique.
Sujets à traiter
Les
communications à présenter au colloque pourront aborder les points ci-après :
1. Plantes médicinales, médecine traditionnelle et
pharmacopée en Afrique : Importance et tendance de la place et de la
contribution de la médecine traditionnelle dans les soins de santé primaire.
2. Le contexte mondial (bioprospection, Droits de
Propriété Intellectuelle (DPI), Accords sur les Aspects de Droit de Propriété
Intellectuelle liés au Commerce (ADPIC), Convention sur la Diversité Biologique
(CBD), etc.) et leur implication dans la promotion du secteur.
3. Aspects de la recherche participative dans le domaine
des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique, tenant compte
de la participation des communautés locales (production des médicaments à base
de plantes médicinales d'Afrique, études chimiques, biologiques et
pharmacologiques).
4. Travaux de recherche antérieure et en cours menés pour
résoudre les problèmes de santé des communautés locales ; écart entre
les objectifs de la recherche en cours eu égard aux problèmes de santé publique,
et les besoins et priorités des communautés locales.
5. Conservation
et utilisation durable des plantes médicinales en Afrique ;
·
Contribution des forêts dans les soins de santé
communautaire (liens entre la forêt et la santé; déforestation, son impact et
ses conséquences sur la santé de la population, diverses façons par lesquelles
la santé de la population est affectée suite à la déforestation, etc.).
·
Diffusion et domestication des plantes médicinales en
Afrique (ex : expériences couronnées de succès à l'échelon du village,du
pays ou de la sous-région), récolte abusive et récolte rationnelle, gestion des
ressources biologiques.
·
Protection du savoir-faire et des pratiques
traditionnelles associées à l'utilisation des plantes médicinales et des
systèmes de la médecine traditionnelle (ex : proposition des mécanismes
adéquats, débats sur les droits de propriété intellectuelle compte tenu du
contexte africain, etc.).
·
Mesures d'incitation économiques et politiques,
et des instruments juridiques régissant la conservation et l'utilisation
durable (ex : encouragement du secteur privé, des chercheurs et des communautés
locales.)
·
Prospection de la diversité biologique, commerce
international et droits traditionnels relatifs aux ressources des
populations autochtones et des communautés locales, partage des avantages et
accès aux ressources génétiques médicinales.
6.
Commercialisation et valeurs économiques des plantes médicinales au niveau de
la communauté : (Aperçu du
secteur des plantes médicinales commercialisées et leurs potentialités pour le
développement de la communauté).
·
L’économie et les perspectives de l’industrie
pharmaceutique à petite échelle en Afrique (état de production des
phytomédicaments, leur commercialisation, leurs marchés et la valeur ajoutée
par la transformation) ;
·
Stratégies à adopter pour accroître la génération de
revenus, et la part des profits issus des plantes médicinales et
de la médecine traditionnelle.
7. Intégration de la médecine et des systèmes de guérison
traditionnels dans les systèmes et programmes de santé publique
8. Valeurs spirituelles et culturelles qui appuient la guérison
et les pratiques traditionnelles
9. Mécanismes financiers, instruments et stratégies
d’information, coopération régionale et internationale : Possibilités
de financement, identification des instruments, des mécanismes et des
stratégies pratiques et efficaces de nature à renforcer l’échange
d’informations, la coopération et la collaboration pour le développement du
secteur.
10. Expérience
des pays :
État actuel des
plantes médicinales et de la médecine traditionnelle à l’échelon national; ex :
exemples des plantes médicinales les plus répandues et leur utilisation. Qui
fait quoi à l’échelon national, ex : des programmes et cadre institutionnel de
coordination et d’exécution, d’appui de la Recherche et du Développement, du
rôle des ONG et des associations de guérisseurs traditionnels et des secteurs
public et privé, des mesures et des stratégies adoptées pour la promotion de la
médecine traditionnelle et des plantes médicinales, des efforts déployés afin
d’intégrer la médecine traditionnelle dans les systèmes officiels de santé
publique : avantages, inconvénients, conséquences et obstacles, options
politiques et principaux acteurs. Place et importance de la médecine
traditionnelle dans le pays.
11. Leçons
tirées et nouvelles perspectives
Importance et
avenir des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique
(recherche future, mesures nécessaires et défis politiques
auxquels il faut faire face ; aperçu des causes du problème identifié et des
approches antérieurement mises en œuvre pour y faire face.
a)
Limites et potentialités
b)
Orientations futures
-
Priorités de recherche
-
Transfert de technologies et renforcement des capacités
-
Planification & Développement
-
Options politiques
-
Échange et gestion d’informations
- Stratégies et
mécanismes de coopération
INFORMATIONS GENERALES
Méthodologie du colloque
Les présentations des communications
dureront 20 minutes chacun et 45 minutes de plus pour les débats. Les
communications devront être largement accessibles en anglais ou en français.
Les séances de travail consisteront à la présentation des communications, des
affiches et des débats.
Les participants
intéressés sont invités à organiser des travaux particuliers en ateliers ou des
débats ouverts en groupes sur un thème spécifique de l’atelier. Si vous
souhaitez organiser une séance de ce genre, veuillez contacter les
organisateurs du colloque. Les langues officielles du colloque sont l’anglais
et le français.
N.B. : NOUS
ENCOURAGEONS LES PARTICIPANTS A PRODUIRE DES COMMUNICATIONS TRAITANT LES
QUESTIONS A CARACTERE REGIONAL OU SOUS-REGIONAL
TRANSMISSION DU RESUME
Pour la transmission des résumés,
l’enregistrement ou pour la demande d’informations,
prière de contacter l’adresse ci-après :
Ernest Rukangira
-
par courrier électronique (erukangira@iconnect.co.ke)
-
par télécopie (254-2-562175)
-
par courrier ordinaire (Centre de Liaison pour
l’Environnement International, B.P. 72461, Nairobi Kenya).
Ou Madame
Barbara Gemmill ( à la même adresse)
courrier électronique :<Barbara
Gemmill>herren@africaonline.co.ke
Le résumé ne
doit pas dépasser 500 mots. Vous pouvez l’expédier par l’une des deux
voies suivantes : sur papier (télécopie ou poste) ou par
transmission électronique. Il doit être rédigé en anglais ou en français
TRANSMISSION DES RESUMES
Prière d’inclure les informations
suivantes:
NOM : Noms de ou des auteur(s)
TITRE : Titre de la communication
COURRIER
ELECTRONIQUE: Adresse du courrier
électronique du principal auteur, s’il y en a
ADRESSE : Adresse postale du principal auteur
TEL : Numéro de téléphone du principal auteur, s’il
y en a
TELECOPIE : Numéro de télécopie du principal auteur, s’il
y en a
Pour toute
correspondance, on se servira du nom du principal auteur
La transmission électronique sera un
message de texte ASCII clair fournissant les détails suivants:
NOM : Nom du
principal auteur
TITRE : Titre du
document.
Courrier électronique :
Adresse du courrier électronique du principal auteur
Adresse : Adresse postale du principal auteur
Tél.: Numéro de téléphone du principal auteur
Télécopie :
Numéro de télécopie du principal auteur.
Dates importantes
Date limite de transmission du résumé : le 30 Janvier
2000
Notification de
la décision du comité : le 20 Février
2000
Transmission de
textes prêts à être photocopiés ; le 20 Mars 2000
Tenue du
colloque : du 16 au 19 Mai 2000
Formulaire de
pré-enregistrement.
Mr/Mme/Dr./Prof :
(Prénom) :
(Nom) :
Organisme :
Rue : B.P.
Ville : Pays :
Tél.: Télécopie :
(code du pays –
code de la région – numéro) Courrier
électronique :
Prière de retourner ce formulaire par
télécopie ou par courrier électronique avant le 30 Janvier 2000, à l’adresse
susmentionnée.
Modalités de paiement
1.
Envoi d’un
chèque par poste (à l’ordre de “Centre de Liaison pour l’Environnement
International”) en dollars américains ou en shillings Kenyans
2. Envoi par
poste, par télécopie ou par courrier électronique des informations sur la carte
de crédit, qu’il s’agisse de la carte Visa ou de la carte Master, en indiquant
le montant total, le nom du titulaire, le numéro de la carte, et sa date
d’expiration, plus votre signature au cas où le paiement s’effectue par poste
on par télécopie.
Montant: avant le
30 Janvier 2000 : 150$US ; après le 30 Janvier 2000 : 250$US
Le Centre de
Liaison pour l’Environnement International (CLEI) basé à Nairobi, au Kenya, a
été crée en 1974 dans le but de renforcer la communication et la coopération
entre les ONG et les communautés locales, d’assurer la liaison entre les ONG et
le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), d’aider au
renforcement des capacités des ONG et des communautés locales dans les pays en
développement et d’encourager le rôle consultatif des ONG par le biais des
organes de l’Organisation des Nations Unies, le CLEI est une organisation non-gouvernementale
internationale qui regroupe 900 ONG dans plus de 100 pays.
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