Pages

“Many people praise and acknowledge the healing power of plants, but few people actually take action to prevent their extension by planting and conserving them for future generations.”

Thursday, 12 December 2013

Plantes Médicinales, Médecine Traditionnelle et Communautés Locales en Afrique : Défis et Opportunités du Prochain Millénaire"


ORGANISATION  D'UN COLLOQUE INTERNATIONAL

 

 

PREMIER COLLOQUE REGIONAL SUR LE THEME :

 

"Plantes Médicinales, Médecine Traditionnelle et Communautés Locales en Afrique : Défis et Opportunités du Prochain Millénaire"

 

Date : du 9 au 12 Mai 2000

 

Lieu : Nairobi, Kenya .

 

Le Centre de Liaison pour l'Environnement International (CLEI), basé à Nairobi, Kenya, en collaboration avec d'autres organisations, a  le plaisir de porter à la connaissance des partenaires intéressées, qu'il  organisera, du 9 au 12 Mai 2000, à Nairobi au Kenya, un colloque international de quatre jours sur la promotion et la mise en valeur des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique. Le Colloque comportera une série d'exposés, de posters et de travaux en ateliers. Il se déroulera pendant la semaine qui précède  la cinquième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la Diversité Biologique,  prévue du 15 au 26 Mai 2000 à Nairobi au Kenya.

 

Les travaux de ce colloque seront centrés sur les questions relatives aux plantes médicinales utilisées dans la médecine traditionnelle humaine et vétérinaire, aux pesticides extraits de ces plantes et aux plantes aromatiques et cosmétiques. Il est prévu que les représentants de gouvernements et de bailleurs de fonds, les hommes de science, les chercheurs, les responsables politiques, les conservateurs de la nature, les environnementalistes, les ONG, les agents de santé, les guérisseurs et les praticiens traditionnels, etc. prendront part à  ce colloque. Les spécialistes  en la matière en provenance des autres continents sont également invités à  participer aux travaux de ce colloque pour partager leurs expériences ou pour être informés sur l'évolution récente enregistrée dans ce domaine en Afrique. Les langues officielles de ce colloque sont l'anglais et le français.

 

Importance et but du colloque


 

L'on trouve des informations  ayant trait aux plantes médicinales et à  la médecine traditionnelle dans des documents et bases de données publiés à l'intention des lecteurs dans une gamme variée de disciplines dont la botanique, l'écologie, la chimie, la médecine, la science vétérinaire, etc. Toutefois, il existe peu de publications qui font le point des travaux en cours et qui passent en revue et analysent les progrès récents en matière du savoir-faire traditionnel ou qui mettent en relief des expériences locales, des défis, des contraintes, et des possibilités concernant l'utilisation de la médecine traditionnelle, la préservation ainsi que l'exploitation et la gestion durables des plantes médicinales. En Afrique comme ailleurs, la plupart des publications disponibles sur les plantes médicinales et la médecine traditionnelle ont porté plus ou moins sur les travaux de recherche à caractère académique et sur la conception de la médecine traditionnelle africaine, et ses rapports avec d'autres systèmes médicaux. Cependant, les population, les décideurs politiques et les communautés locales ont l'accès limité à ces publications, à cause de leur style académique et leur rareté.

 

A l'échelon mondial, la Convention sur la Diversité Biologique, traité international signé par plus de 170 pays membres de l'Organisation des Nations Unies, fournit un cadre juridique international régissant la préservation ainsi que la prospection de la diversité biologique, y compris l'accès aux matériels génétiques et leurs échanges. Diverses approches sont à  l'essai à  travers le monde afin de trouver les moyens de minimiser, voire de réduire et/ou de freiner l’appauvrissement de la diversité biologique, en particulier dans des zones de la planète biologiquement riches comme les régions tropicales d'Afrique. Il s'avère que la réalisation de l'objectif principal de réduire la dégradation de l'habitat, qui va de pair avec l'appauvrissement de la diversité bioculturelle est malheureusement encore loin d'être atteint.

 

L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime que 80% de la population des pays en développement sont tributaires de la médecine traditionnelle, en recourant principalement aux médicaments extraits des plantes pour satisfaire à  leurs besoins de soins de santé primaire. Par ailleurs, la pharmacopée moderne comporte encore 25% au moins de médicaments extraits des plantes et bien d'autres produits synthétiques analogues mis au point à  partir des composés prototypes isolés des plantes. La demande des plantes médicinales augmente aussi bien dans les pays en développement que dans les pays développés. Il est cependant étonnant de constater que les grosses quantités de matériel commercialisées proviennent encore des récoltes sauvages dans des forêts naturelles, alors que très peu d'espèces de plantes médicinales sont cultivées.

 

Par ailleurs, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a désigné l'année 2000, année où tout le monde devrait avoir accès à  la santé, objectif louable  mais qui est encore loin d'être atteint. Pendant que les gouvernements africains font face aux coûts élevés et à l’inefficacité des programmes officiels de santé destinés à la population, la médecine à base de plantes et les guérisseurs traditionnels se voient accordés une attention particulière de la part de hauts fonctionnaires dans le domaine  de la santé et de la recherche médicale, à l’échelon international et de la part des établissements de formation médicale.

 

La hausse des prix des médicaments conjuguée à  la baisse du pouvoir d'achat de la population en Afrique, suite à la dévaluation des monnaies africaines et à des ressources nationales limitées rendent obligatoire l'intensification des efforts dans la production des médicaments à base des plantes. Un certain nombre d'organisations internationales ont désormais commencé à appuyer en Afrique, des projets et programmes qui mettent à profit l'acceptabilité culturelle et économique des pratiques médicales traditionnelles sûres et efficaces. Par contre, dans bon nombre de pays africains, il n'existe des programmes unifiés et cohérents ni pour promouvoir les plantes médicinales, la médecine traditionnelle et l'éthnopharmacologie, ni pour des pratiques durables de récolte des ressources biologiques. Différents acteurs entreprennent à titre individuel de nombreux travaux isolés sans aucun appui institutionnel, et sans aucune coordination à l'échelon national et régional. Cette situation pourrait mener souvent à un dédoublement des efforts ou à un usage peu efficace des ressources disponibles en quantités limitées.

 

Il existe encore des lacunes au niveau de la compréhension du fonctionnement des systèmes du savoir-faire traditionnel de santé,  de leurs limites, de leurs potentialités et de leurs perspectives. On observe un manque de compréhension de la vision globale propre aux guérisseurs traditionnels et du rapport entre le traitement basé sur des approches spirituelles et celui basé sur les plantes. En ce qui concerne les aspects de la recherche en rapport avec les plantes médicinales, la médecine traditionnelle et les communautés locales, un certain nombre de questions restent encore sans réponses. Par exemple : Quels sont les remèdes traditionnels qui fonctionnent le mieux, lesquels ont-ils été testés et comment ? Comment peut-on valider au niveau de la communauté le savoir-faire, les pratiques et les préparations  relatives à la médecine traditionnelle ? Quelles méthodes et quels outils faut-il utiliser ? Comment peut-on uniformiser ou standardiser, au niveau local et au niveau des guérisseurs, les pratiques de la médecine traditionnelle, et quelles méthodes et quels équipements faut-il employer ? Dans quelles conditions la médecine traditionnelle fonctionne-t-elle le mieux ? Qui est-ce qui s'en sert et dans quelles conditions ? Dans quelle mesure les communautés locales acceptent-elles les pratiques de la médecine traditionnelle ? Qu'est-ce qui a été fait pour favoriser la collaboration et le respect professionnel mutuels entre les médecins modernes et les médecins traditionnels ? Quels sont les aspects de la médecine traditionnelle qu'on peut combiner avec le style occidental de la médecine et comment ? Est-ce que toutes les plantes médicinales africaines ont été identifiées, répertoriées et documentées ? Avons-nous une idée sur les plantes en danger d’extinction, sur la nature et le nombre de plantes déjà disparues, et de plantes qui nous restent ? Comment peut-on inclure les méthodes traditionnelles de santé dans un programme de recherche médicale ? Comment le savoir-faire traditionnel local peut-il contribuer à la diffusion, ainsi qu'à la conservation et l'utilisation durable des plantes médicinales ? Quelles sont les limites et les potentialités des croyances spirituelles relatives aux systèmes traditionnels de guérison ? Quels sont les pratiques et les croyances culturelles en Afrique qui œuvrent en faveur de l'utilisation durable et la conservation des plantes médicinales ? Quelles sont les méthodes agro-écologiques efficaces qui favorisent la diffusion et la mise en culture des plantes médicinales particulières ?

 

De nombreux pays africains évoluent derrière le reste du monde en ce qui concerne l'élaboration de politiques nationales relatives à l'accès aux ressources génétiques et aux échanges commerciaux des plantes médicinales. Par conséquent, il se développe entre les producteurs et les marchés potentiels, un climat de méfiance et de suspicion remarquables. Pour accorder aux plantes médicinales la valeur appropriée  sur le marché intérieur et sur le marché mondial, il faut mettre au point des politiques de nature à orienter de telles transactions. L'adoption des stratégies adéquates ciblées dans le but de sensibiliser davantage les responsables politiques et les bailleurs de fonds à  propos de la nécessité de promouvoir l'utilisation durable et la conservation des plantes médicinales, ainsi que la médecine traditionnelle en Afrique peut servir de complément aux efforts de la recherche visant à atteindre cet objectif.

 

Le colloque passera en revue les initiatives en cours en faveur du développement des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique. Il établira l'état des lieux  en mettant en relief les réalisations, les programmes d'activités, les points à renforcer,  les mesures d'incitation qui s'imposent, les points forts et les points faibles. Il mettra en exergue, les exemples de politiques, de recherches, de législation, d’actions locales pour témoigner des efforts déployés à l'échelon national en vue de promouvoir les plantes médicinales et la médecine traditionnelle en Afrique, leur conservation et utilisation durable. Le colloque contribuera à l'échange d'information sur le sujet en question en faisant à la fois le point des travaux individuels, des institutions et ceux relatifs aux expériences de communautés africaines. Il mettra en relief le rôle vital joué par les plantes médicinales et la médecine traditionnelle dans les soins de santé publique et la nécessité d'adopter des stratégies et des mesures urgentes en faveur de ce secteur.

 

 

Objectifs du colloque


 

·         Faire l’état des lieux et diffuser les informations sur les travaux en cours, les expériences et diverses initiatives de recherche dans le domaine des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique.

·         Identifier les défis clé, les expériences, et les perpectives dans le cadre de la promotion des  plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique, ainsi que les leçons pratiques qu'on peut tirer de l'histoire récente de la Recherche et du Développement  dans ce secteur.

·         Fournir aux parties intéressées des informations actualisées, ainsi que des propositions de projets et de recommandations d'actions orientées vers une approche systématique et intégrée visant le développement durable d'une coopération axée sur les plantes médicinales et la médecine traditionnelle en Afrique.

 

Sujets à traiter


 

Les communications à présenter au colloque pourront aborder les points ci-après :

 

1. Plantes médicinales, médecine traditionnelle et pharmacopée en Afrique : Importance et tendance de la place et de la contribution de la médecine traditionnelle dans les soins de santé primaire.

2. Le contexte mondial (bioprospection, Droits de Propriété Intellectuelle (DPI), Accords sur les Aspects de Droit de Propriété Intellectuelle liés au Commerce (ADPIC), Convention sur la Diversité Biologique (CBD), etc.) et leur implication dans la promotion du secteur. 

3. Aspects de la recherche participative dans le domaine des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique, tenant compte de la participation des communautés locales (production des médicaments à base de plantes médicinales d'Afrique, études chimiques, biologiques et pharmacologiques).

4. Travaux de recherche antérieure et en cours menés pour résoudre les problèmes de santé des communautés locales ; écart entre les objectifs de la recherche en cours eu égard aux problèmes de santé publique, et les besoins et priorités des communautés locales.

5. Conservation et utilisation durable des plantes médicinales en Afrique ;

·         Contribution des forêts dans les soins de santé communautaire (liens entre la forêt et la santé; déforestation, son impact et ses conséquences sur la santé de la population, diverses façons par lesquelles la santé de la population est affectée suite à la déforestation, etc.).

·         Diffusion et domestication des plantes médicinales en Afrique (ex : expériences couronnées de succès à l'échelon du village,du pays ou de la sous-région), récolte abusive et récolte rationnelle, gestion des ressources biologiques.

·         Protection du savoir-faire et des pratiques traditionnelles associées à l'utilisation des plantes médicinales et des systèmes de la médecine traditionnelle (ex : proposition des mécanismes adéquats, débats sur les droits de propriété intellectuelle compte tenu du contexte africain, etc.).

·         Mesures d'incitation économiques et politiques, et des instruments juridiques régissant la conservation et l'utilisation durable (ex : encouragement du secteur privé, des chercheurs et des communautés locales.)

·         Prospection de la diversité biologique, commerce international et droits traditionnels relatifs aux ressources des populations autochtones et des communautés locales, partage des avantages et accès aux ressources génétiques médicinales.

 

 

6. Commercialisation et valeurs économiques des plantes médicinales au niveau de la communauté : (Aperçu du secteur des plantes médicinales commercialisées et leurs potentialités pour le développement de la communauté).

·         L’économie et les perspectives de l’industrie pharmaceutique à petite échelle en Afrique (état de production des phytomédicaments, leur commercialisation, leurs marchés et la valeur ajoutée par la transformation) ;

·         Stratégies à adopter pour accroître la génération de revenus, et la part des profits issus des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle.

7. Intégration de la médecine et des systèmes de guérison traditionnels dans les systèmes et programmes de santé publique

8. Valeurs spirituelles et culturelles qui appuient la guérison et les pratiques traditionnelles

9. Mécanismes financiers, instruments et stratégies d’information, coopération régionale et internationale : Possibilités de financement, identification des instruments, des mécanismes et des stratégies pratiques et efficaces de nature à renforcer l’échange d’informations, la coopération et la collaboration pour le développement du secteur.

 

10. Expérience des pays :

État actuel des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle à l’échelon national; ex : exemples des plantes médicinales les plus répandues et leur utilisation. Qui fait quoi à l’échelon national, ex : des programmes et cadre institutionnel de coordination et d’exécution, d’appui de la Recherche et du Développement, du rôle des ONG et des associations de guérisseurs traditionnels et des secteurs public et privé, des mesures et des stratégies adoptées pour la promotion de la médecine traditionnelle et des plantes médicinales, des efforts déployés afin d’intégrer la médecine traditionnelle dans les systèmes officiels de santé publique  : avantages, inconvénients, conséquences et obstacles, options politiques et principaux acteurs. Place et importance de la médecine traditionnelle dans le pays.

 

11. Leçons tirées et nouvelles perspectives

Importance et avenir des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle en Afrique (recherche future, mesures nécessaires et défis politiques auxquels il faut faire face ; aperçu des causes du problème identifié et des approches antérieurement mises en œuvre pour y faire face.

a)    Limites et potentialités

b)   Orientations futures

-      Priorités de recherche

-      Transfert de technologies et renforcement des capacités

-      Planification & Développement

-      Options politiques

-      Échange et gestion d’informations

-      Stratégies et mécanismes de coopération

 

 

 

INFORMATIONS GENERALES


 

Méthodologie du colloque


 

Les présentations des communications dureront 20 minutes chacun et 45 minutes de plus pour les débats. Les communications devront être largement accessibles en anglais ou en français. Les séances de travail consisteront à la présentation des communications, des affiches et des débats.

 

Les participants intéressés sont invités à organiser des travaux particuliers en ateliers ou des débats ouverts en groupes sur un thème spécifique de l’atelier. Si vous souhaitez organiser une séance de ce genre, veuillez contacter les organisateurs du colloque. Les langues officielles du colloque sont l’anglais et le français.

N.B. : NOUS ENCOURAGEONS LES PARTICIPANTS A PRODUIRE DES COMMUNICATIONS TRAITANT LES QUESTIONS A CARACTERE REGIONAL OU SOUS-REGIONAL

 


TRANSMISSION DU RESUME


 

Pour la transmission des résumés, l’enregistrement ou pour la demande d’informations, prière de contacter l’adresse ci-après :

 

Ernest Rukangira

-      par courrier électronique (erukangira@iconnect.co.ke)

-      par télécopie (254-2-562175)

-      par courrier ordinaire (Centre de Liaison pour l’Environnement International, B.P. 72461, Nairobi Kenya).

Ou Madame Barbara Gemmill ( à la même adresse)

 courrier électronique :<Barbara Gemmill>herren@africaonline.co.ke

 

Le résumé ne doit pas dépasser 500 mots. Vous pouvez l’expédier par l’une des deux voies  suivantes :  sur papier (télécopie ou poste) ou par transmission électronique. Il doit être rédigé en anglais ou en français

 

TRANSMISSION DES RESUMES

 

Prière d’inclure les informations suivantes:

NOM :  Noms de ou des auteur(s)

TITRE :  Titre de la communication

COURRIER ELECTRONIQUE:  Adresse du courrier électronique du principal auteur, s’il y en a

ADRESSE :  Adresse postale du principal auteur

TEL :  Numéro de téléphone du principal auteur, s’il y en a

TELECOPIE :  Numéro de télécopie du principal auteur, s’il y en a

Pour toute correspondance, on se servira du nom du principal auteur

 

La transmission électronique sera un message de texte ASCII clair fournissant les détails suivants:

 

NOM : Nom du principal auteur

TITRE : Titre du document.

Courrier électronique :  Adresse du courrier électronique du principal auteur

Adresse :  Adresse postale du principal auteur

Tél.:  Numéro de téléphone du principal auteur

Télécopie : Numéro de télécopie du principal auteur.

 


Dates importantes


 

Date limite de transmission du résumé : le 30 Janvier 2000


Notification de la décision du comité :  le 20 Février 2000

Transmission de textes prêts à être photocopiés ; le 20 Mars 2000

Tenue du colloque : du 16 au 19 Mai 2000

 

Formulaire de pré-enregistrement.

 

Mr/Mme/Dr./Prof :

(Prénom) :

(Nom) :

Organisme :

Rue :                         B.P.

Ville :                       Pays :

Tél.:                         Télécopie :

(code du pays – code de la région – numéro)   Courrier électronique :

 

Prière de retourner ce formulaire par télécopie ou par courrier électronique avant le 30 Janvier 2000, à l’adresse susmentionnée.

 

Modalités de paiement


 


1.   Envoi d’un chèque par poste (à l’ordre de “Centre de Liaison pour l’Environnement International”) en dollars américains ou en shillings Kenyans


 

2. Envoi par poste, par télécopie ou par courrier électronique des informations sur la carte de crédit, qu’il s’agisse de la carte Visa ou de la carte Master, en indiquant le montant total, le nom du titulaire, le numéro de la carte, et sa date d’expiration, plus votre signature au cas où le paiement s’effectue par poste on par télécopie.

 

Montant:  avant le 30 Janvier 2000 : 150$US ; après le 30 Janvier 2000 : 250$US


 

 

Le Centre de Liaison pour l’Environnement International (CLEI) basé à Nairobi, au Kenya, a été crée en 1974 dans le but de renforcer la communication et la coopération entre les ONG et les communautés locales, d’assurer la liaison entre les ONG et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), d’aider au renforcement des capacités des ONG et des communautés locales dans les pays en développement et d’encourager le rôle consultatif des ONG par le biais des organes de l’Organisation des Nations Unies, le CLEI  est une organisation non-gouvernementale internationale qui regroupe 900 ONG dans plus de 100 pays.

 

No comments:

Post a Comment

Recent Posts

Traditional healing

Traditional healing

Medicinal trees

Medicinal trees

grain.org - english

Biodiversity Policy & Practice - Daily RSS Feed

Rainforest Portal RSS News Feed

What's New on the Biosafety Protocol

Rainforest Portal RSS News Feed